lundi 22 février 2010

cet homme est un geek ...

... mais j'avoue, je suis une geekette et ça me plait ^^

Nous voilà de retour de vacances, le sourire aux lèvres, après avoir vu toute la clique toulousaine, l'homme ayant respiré le bon air de son pays natal, moi ayant respiré le bon air de l'homme, et nous deux content d'avoir passé un bon séjour (trop froid selon moi, maybon ^^).

Nous reviendrons sur notre épisode vacancier ultérieurement, notamment pour vous parler du gîte (que l'on vous recommandera chaudement).

Durant nos vacances, au fil de nos déambulations fnacières (oui, il faut qu'on parte en vacances pour aller à la fnac, pas de temps autrement), nous sommes passés, repassés, et encore passés, ayant presque trépassés dirais-je même, devant the...

PI-ESS-FRUI !

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Lors de l'établissement de notre budget prévisionnel de l'année, nous avions quelque peu écarté l'éventualité d'acheter cette console, car il faut bien l'avouer, nous jouons peu à la console. De temps en temps, on se latte un peu la yeule sur mortal combat armaggeddon, tekken, où on joue sur baldur's 2... mais ce n'est pas tout le temps.

Seulement voilà, même si on joue peu à la console, il y a un jeu, UN UNIQUE jeu, qui mérite qu'on achète une console pour lui. Un jeu sur lequel on se rejoint (encore une fois d'ailleurs), c'est la saga-monument du jeu vidéo (selon moi): Final Fantasy, et plus précisément, le XIII. On avait donc décidé qu'un jour, on l'acheterait pour justement jouer à ce jeu, et avoir par la même occasion un lecteur blu-ray.

Puis, avec tout ce qu'on avait à acheter, on s'est dit : boarf, on verra.

Et voilà que la vile tentation nous a prise, s'est emparé de notre corps et de notre esprit jusqu'à nous manipuler complètement : toute résistance était vaine et nous nous sommes dirigés, ce mardi matin là, à la fnac labège, pour pouvoir acheter ce qui était notre objet de convoitise : la ps fruit.

Comme nous sommes de bonnes natures, de véritables crèmes non violentes, nous avons achetés ce qui allait avec notre nature profonde : Tekken 6, Fallout 3 et Metal gear 4 (ce dernier étant exclusivement pour cet homme brutal qui vit à avec moi :p ). Et aller hop, c'est parti pour un tart'a'taggle, fight et tricheries, petit sourire satisfait et narquois de cet homme qui définitivement, est un tricheur (et moi, une mauvaise perdante).

Du coup, nous avons commencé à passer nos soirées à profiter de ce petit bijou, ma foi, fort joli (et dire qu'avant, elle était encore plus grosse que ça !), les manettes sans fil qui pourraient sembler du gadget sont bien utiles. C'est juste un peu laid d'avoir un seul câble pour pouvoir les recharger, mais bon, que voulez-vous, persony n'est parfait (ahahah, blague... ok, je sors). Nous ne l'avons utilisé que très peu pour le moment, nous apprendrons donc au fur et à mesure à utiliser ce nouveau petit joujou (les parties online ? les différents jeux vidéos? le playstation home ? les différentes sessions ? les achats online? bref, beaucoup de choses).

Nous qui jouions peu, finalement, allons rajouter cela à nos différentes activités, que nous avons déjà du mal à combiner (c'est ça, chez nous, nous avons rarement le temps de nous ennuyer). On attendra de s'équiper de bluray (quisas Battlestar Galactica le coffret? ) pour pouvoir tester le lecteur. Cela dit en passant : HOMME, NION, NOUS N'AURONS PAS DE SON 5.1 A LA MAISON !

hem hem... voilà ^^ c'est dit.

C'est parti les parties endiablées de Tekken, les jeux sur fallout 3 (j'avais kiffé les versions précédentes du jeu), on se prendre peut-être Dragon Age (sous les recherches de l'hombre et les conseils zavertis d'un mister geek au travail ^^), et quizz world, le jeu pour les cintrés du quizz (bientôt, je l'espère, un post sur la blindtest organisé précédemment, et j'espère sur les futures ^^ ).

Et vous, la ps3, la xbox, plutot la wii?

dimanche 31 janvier 2010

J'aime me quicher lorrainement

La quiche lorraine, c'est mon péché mignon. Je kiffe. Je vois une boulangerie, si je rentre dedans pour acheter par exemple le pain quotidien, je vais avoir du mal à ne pas en acheter une (on est bien d'accord, toussa n'est pas très wetwet, c'est d'ailleurs pour cela que je me suis calmée :) ). Chaque boulangerie a sa propre recette, comme chaque foyer, et chaque quiche est différente. Certaines vont être très légère, d'autres croustillantes (le choix de la pâte ou sa cuisson diffère), d'autres, ne sont lorraines que de nom (pas de lardons ou de jambon), bref, nous pouvons en trouver tout un panel.

Petit retour sur l'histoire de la quiche, n'hésitez pas à cliquer vers notre ami wiki. Et c'est là que nous apprenons qu'avant le XIXème siècle, la quiche lorraine ne comportait pas de lard, mais uniquement la migaine (et non la migraine, nezba, migaine qui est l'appareil composé de crème et d'œuf) et du fromage.

Bref, tout ça pour dire que la quiche, c'est tout une histoire. Il existe tellement de recettes différentes,avec de la pâte feuilletée, de la pâte brisée, sans pâte, avec que de l'oeuf, allégée, sans fromage, avec, toute cette quiche me fait tourneeerr, la têteuuh.

Arrivée dans ma vie d'adulte cuisinière-conchitach, j'ai décidé moi zossi de me mettre à me taper des quiches. Je commençais donc à étrenner le four chez mes parents (puis enfin le nôtre). Seulement, comment faire pour m'y retrouver, dans cet océan sans fond de crème et de lardons? Mauvaise fille difficile que je suis, je ne voulais pas tenter la quiche de la madre, tout simplement parce que je la trouvais un peu trop... oeufer. Et trop d'oeufs, tue l'oeuf (enfin, selon moi, sinon, elle est bonne, la quiche de ma mère ! ) . Je me mis donc à la recherche d'une quiche simple, facile et bonne à faire.

J'aurai bien entendu me plonger à vue perdue dans les innombrables livres de recettes que ma mère a, que j'ai, pour trouver une recette, mais je me suis dis : Google est mon ami, voyons voir ce qu'il va nous donner. Je m'attendais à tomber sur marmiton, Supertoinette, et devoir choisir, chercher parmi toutes les recettes existantes.

Et je suis tombée sur ce site : La meilleure recette de quiche lorraine

Alors je me suis dis, why not, partons à l'aventure quichognons, et tentons la recette de la vraie quiche lorraine. Et bah ma foi, elle est facile, rapide, simple, méga bonne, elle se tient bien, et gouteuse, un peu mouillée mais pas trop, bref, elle est JUSTE CE QU'IL FAUT. Un petit régal à emporter au travail, accompagné d'une tite salade verte.

Voici donc la recette, comment je la fais (petite modification comparée au site, ok ok, ce n'est donc pas la vraie recette de la quiche lorraine, mais pour plus de rapidité, et pour alléger, de temps en temps je modifie et met du bacon) :

Pour 4 à 8 personnes
Cuisson : 30 minutes au four 220°
Préparation : 15 min
Informations WW: 9 ppts avec des lardons / 8ppts avec du bacon

1 rouleau de pâte feuilletée (je sais, je sais, on pourrait la faire, mais là, on veut du rapide, efficace ! )
3 oeufs entiers
30 cl de crème fraiche à 15%
200 g de lardons (ou 200g de bacon)
25 cl de lait
100g de fromage râpé
sel, poivre, et plein de noix de muscade !

Pendant la préparation, mettre le four à préchauffer à 220°. Dans le moule à tarte, placer la pâte feuilletée et piquez la avec une fourchette. Placer les lardons ou le bacon dans une poêle pour les faire cuire et dégraisser. Dans un saladier, battre avec un fouet les 3 œufs (rho, vi, c'est bon ! ), mettre la crème fraiche, battre encore. Rajouter progressivement le lait, tout en battant (sportif, hein ? ). Saler, poivrer, battre encore, et enfin, mettre la noix de muscade, battre encore un dernier tit coup. Verser l'appareil ainsi fait sur la pâte feuilleté, et ensuite, répartir les lardons un peu partout. Saupoudrer allégrement de fromage râpé. Mettre au four et cuire pendant 20 à 25 minutes voir 30 (tester avec le couteau).

Une petite photo pour illustrer tout ça, et hmmm elle était bonne.

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samedi 30 janvier 2010

oh, tu pointes ou tu cliques ?

Jadis, la jeune et frèle jeune fille que j'étais (oui, oui, j'eusse été jeune et frèle ! ), j'aimais bien jouer sur l'ordinateur (notre famille a toujours été plus ordinateurs que console de jeux). Sur l'un de nos ordinateur, (il me semble qu'il s'agissait d'un pentium 233), nous avions eu un cdrom de shareware dans lequel on pouvait trouver plusieurs jeux différents, des petites applications. J'avais donc beaucoup joué à ces jeux, dont plus particulièrement la démo d'un jeu que je n'ai pas retrouvé jusque là, Thanatos machin (si ça dit quelque chose à quelqu'un, je lui en serais très reconnaissante, parce que je ne l'ai jamais retrouvé ! ). Ce jeu en question était un Point & Clic.

Mais qu'est-ce que le point and clic ? C'est un jeu dans lequel il faut résoudre une enquête, évoluer dans une aventure, et pour avancer dans le jeu, il faut cliquer partout dans le décor afin de trouver des objets, les associer entre eux pour pouvoir continuer à avancer (du genre, je met dans un bol du plâtre, auquel j'ajoute de la résine et de l'eau et ça nous fait de la superglu, que j'applique sur une corde de voiture pour pouvoir tirer quelque chose coincé dans une rivière... complexe, n'est-il pas ?). Ce genre de jeu a également l'avantage que l'on ne peut pas mourir, avancer dans le jeu en oubliant des objets méga important qu'on ne peut plus aller chercher dans les chapitres précédents, et ça, c'est plutôt pas mal (pas besoin de faire un millier de points de sauvegarde pour être sûr de pas se retrouver bloquer).

Bref, mon cher papounet, me voyant addict à ce genre de jeu, m'a donc offert mon premier point and clic : Le trésor des Toltèques. Une pure merveille pleine d'humour, un cowboy sur un petit âne traversant le sauvage désert américain à la recherche d'un trésor caché. Et c'est ainsi que se déclara en moi la fannattitude des points and clics. J'ai continué dans ma lancée, avec Blade Runner (mon jeu favori !!), Myst, et d'autres encore dont le nom m'échappe, pour arriver au jeu dont je viens vous parler aujourd'hui : Runaway 3, a twist of fate, que l'Homme m'a gentiment offert pour Noyel.

Cette saga a commencé en 2003 avec Runaway: a road aventure, suivi trois ans plus tard par le second, the dream of the turtle. Ce dernier finissant en cliffhanger, l'attente des trois dernières années pour que sorte le dernier volet de la saga a été longue, trop longue.

Dans ce jeu d'aventure Point and click, donc, nous suivons donc les épopées formidablement catastrophique de Brian Basco, jeune étudiant américain qui rencontre Gina Timmins, belle brune trainant derrière elle des gens qui tentent de l'assassiner. Sous un design de dessin animé mélangé à de la 3D ( on sent beaucoup plus la 3D dans le dernier volet), l'univers est fun et bigarré, frais et bien branché, de l'humour plein les 3 volumes du jeu, il est agréable à l'oeil, les personnages présents ont tous une place dans le déroulement des aventures, avec ce qu'il faut de détail sur leur vie pour s'y intéresser, les détester, ou s'en moquer. Le but du personnage est d'effectuer des combinaisons délurés afin de débloquer les énigmes parfois vraiment capillotractées. Bien entendu, là, je parle de façon générale.

Maintenant, pour revenir sur le jeu en lui même, c'est à dire A twist of fate. CoverRunaway3.0.jpg

On commence l'aventure avec une grande ellipse sur ce qu'il s'est passé précédemment. Gina se fait appeler pour aller identifier un corps qui est censé être celui de Brian, mort dans un accident à l'asile. Pourquoi à l'asile ? Apparemment, on apprend dès le début de l'histoire que Brian est passé en procès pour le meurtre d'un commandant, personnage présent dans le second volume, meurtre dont il ne se souvient pas. Direction l'asile, signalé comme fou. Gina doit donc trouver pourquoi Brian s'est retrouvé dans cette situation, et faire en sorte de le disculper et de trouver les véritables meurtriers. Tout au long du jeu, on va incarner soit Gina dans le présent, soit Brian dans le passé, pour arriver au terme de l'histoire avec les deux dans le présent.

Ce mélange de flashback/présent est plaisant, on découvre ce qui s'est passé en y participant, sans cinématique, on fait donc parti intégrante de l'histoire en cours et de l'histoire passée. Je regrette que le jeu soit si court, tout comme le deuxième, je l'ai finis en 8h de jeu, et comme c'est le genre de jeu qui m'absorbe, en 3 après midi d'après travail, c'était bouclé. Suis-je maintenant trop habituée aux associations bizzaroïdes ? Après avoir tant attendu suite à ce cliffhanger, petite déception quant à la durée, surtout que c'est une série qui me plaisait beaucoup et que mon coeur saigne de savoir que c'est fini (non, je n'en rajoute pas, c'est faux). Il faut également signaler que dans ce dernier volet, les énigmes sont largement moins compliquée que précédemment: peut être est-ce dû à certaines critiques signalant les combinaisons vraiment très/trop farfelues ? Une petite aide est donnée avec un plan d'action à faire pour Brian, ce qui enlève un peu de ce challenge de recherche : on exécute le plan d'action selon l'aide, du coup, on part un peu moins n'importe où : on sait ce qu'il faut faire, à nous de trouver comment. Malgré tout ça, l'histoire est bonne, les personnages atypiques, les dialogues marrants, et la fin, classe.

Je finirais donc en vous conseillant d'y jouer, a toute la saga, parce que ce sont quand même des jeux agréables du genre. Même si le jeu est un peu court, il est très agréable, le style dessiné est bien réussi. Il n'y a pas vraiment de musique d'ambiance et peu de cinématique, mais on s'en passera tellement le gameplay est agréable. Bref, un jeu dont j'aimerai bien qu'il sorte une suite un jour !

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